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Date de création : 13.04.2012
Dernière mise à jour : 13.10.2015
96 articles


L'humain se cherche

Publié le 03/05/2012 à 20:11 par lavenirdelhumanite Tags : société image vie dieu anime
L'humain se cherche

 

Il est nécessaire, de faire une distinction, très importante, entre l’homme en tant qu’être, l’humain que nous pensons être, et l’humanité qui nous dépasse.

L’humain se cherche depuis son avènement et peut-être avant, il a jusqu’à présent apporté les réponses à la hauteur de ses possibilités, mais surtout de ses besoins rationnels et organisationnels. En effet, nous n’apportons, et c’est logique que des réponses qui peuvent nous aider dans une certaine continuité. Et là encore, est à faire une autre distinction. Car il ne s’agit pas de continuité de l’espèce, mais de la continuité de vie par l’espèce.

L’humain s’est donc reconnu l’élu d’un dieu, qui sans imagination, l’aurait fait à son image.

Ce postulat tient toujours pour des millions d’humains malgré que toutes les observations n’aient pas besoin de preuves scientifiques pour relayer cette théorie aux comptes féeriques. Bien d’autres avant M. Darwin, voyaient depuis longtemps déjà très clair, mais la pression sociale chrétienne animée de peurs hérétiques, empêchait de penser autrement.

Maintenant la question à se poser, c’est pourquoi nous pouvons accepter cette évidence autrefois tabou. La raison est fort simple, nous n’avons plus besoin pour survivre d’organisations ou de moralité religieuse.

Mais nous n’avons toujours pas de réponse sur la recherche de l’humain, même s’il nous faut admettre, que nous sommes orphelins d’Adam et Eve, et que notre ancêtre ne soit qu’un singe. Aujourd’hui, renforcés par notre supériorité technologique, nous sommes encore plus intrigués et curieux de savoir ce qui se cache derrière l’humain, et nous avons les moyens scientifiques avec la génétique de nous démonter totalement et de remonter le temps à notre genèse et même avant.

Nous allons encore une fois le faire, car rien ne s’y oppose, nous ne craignons ni problèmes de morale ni désorganisations sociales.

Seulement, nous ne trouvons pas l’humain, nous trouvons toutes sortes d’hommes, de pré hommes, de primates et de grands singes, mais pas d’humain, l’humain ne figure pas plus dans nos gênes, que dans l’avenir.

La société survivra à ce que l’on a voulu croire, une humanité… l’humanité, qui n’aura plus d’humanité, que le nom.

Cette formidable science, qui éclate et éclaire de ses recherches et de ses incroyables découvertes, nous conditionne pour un futur développement qui nous ferme à jamais les portes de l’humain.

L’humain, c’était nous, et la considération de nous-mêmes, ce libre arbitre qui nous anime, pour la beauté, pour la bonté, pour la justice, toute cette subjectivité qui fait de nous, des êtres singuliers.

Cet humain là ne sera plus, cet humain là était de passage, nous ne l’avons pas reconnu, et il s’en va.

Une fois parti, nous serons bien tous d’accord entre nous que nous savons tout sur nous-mêmes, et il n’y a rien d’autre à dire, du moins sur ce sujet, sur le reste, ce sera à peu près pareil, on est sur, de tout savoir sur tout, et ce n’est pas un banal semblable individu sujet, qui va nous en apprendre plus que la société. S’il parle, s’il pense, ce ne peut être que du récit, du redit, du plagiat, de la mauvaise imitation.

Et si l’on ne veut pas passer pour un crétin prétentieux, il vaut mieux se taire, et si on doit se taire, et ne plus communiquer, à quoi sert de penser ? Nous sommes tous bien d’accord…

Nous sommes passés, de l’animal à l’homme, de l’homme à l’humain et de l’humain à l’humanité.

L’humanité nous a dépassés.

Que serons-nous demain, les structures auront changé, et nous serons les individus sujets adaptés à ces nouvelles conditions.

Il est nécessaire, de faire une distinction, très importante, entre l’homme en tant qu’être, l’humain que nous pensons être, et l’humanité qui nous dépasse.

L’humain se cherche depuis son avènement et peut-être avant, il a jusqu’à présent apporté les réponses à la hauteur de ses possibilités, mais surtout de ses besoins rationnels et organisationnels. En effet, nous n’apportons, et c’est logique que des réponses qui peuvent nous aider dans une certaine continuité. Et là encore, est à faire une autre distinction. Car il ne s’agit pas de continuité de l’espèce, mais de la continuité de vie par l’espèce.

L’humain s’est donc reconnu l’élu d’un dieu, qui sans imagination, l’aurait fait à son image.

Ce postulat tient toujours pour des millions d’humains malgré que toutes les observations n’aient pas besoin de preuves scientifiques pour relayer cette théorie aux comptes féeriques. Bien d’autres avant M. Darwin, voyaient depuis longtemps déjà très clair, mais la pression sociale chrétienne animée de peurs hérétiques, empêchait de penser autrement.

Maintenant la question à se poser, c’est pourquoi nous pouvons accepter cette évidence autrefois tabou. La raison est fort simple, nous n’avons plus besoin pour survivre d’organisations ou de moralité religieuse.

Mais nous n’avons toujours pas de réponse sur la recherche de l’humain, même s’il nous faut admettre, que nous sommes orphelins d’Adam et Eve, et que notre ancêtre ne soit qu’un singe. Aujourd’hui, renforcés par notre supériorité technologique, nous sommes encore plus intrigués et curieux de savoir ce qui se cache derrière l’humain, et nous avons les moyens scientifiques avec la génétique de nous démonter totalement et de remonter le temps à notre genèse et même avant.

Nous allons encore une fois le faire, car rien ne s’y oppose, nous ne craignons ni problèmes de morale ni désorganisations sociales.

Seulement, nous ne trouvons pas l’humain, nous trouvons toutes sortes d’hommes, de pré hommes, de primates et de grands singes, mais pas d’humain, l’humain ne figure pas plus dans nos gênes, que dans l’avenir.

La société survivra à ce que l’on a voulu croire, une humanité… l’humanité, qui n’aura plus d’humanité, que le nom.

Cette formidable science, qui éclate et éclaire de ses recherches et de ses incroyables découvertes, nous conditionne pour un futur développement qui nous ferme à jamais les portes de l’humain.

L’humain, c’était nous, et la considération de nous-mêmes, ce libre arbitre qui nous anime, pour la beauté, pour la bonté, pour la justice, toute cette subjectivité qui fait de nous, des êtres singuliers.

Cet humain là ne sera plus, cet humain là était de passage, nous ne l’avons pas reconnu, et il s’en va.

Une fois parti, nous serons bien tous d’accord entre nous que nous savons tout sur nous-mêmes, et il n’y a rien d’autre à dire, du moins sur ce sujet, sur le reste, ce sera à peu près pareil, on est assuré, de tout savoir sur tout, et ce n’est pas un banal semblable individu sujet, qui va nous en apprendre plus que la société. S’il parle, s’il pense, ce ne peut être que du récit, du redit, du plagiat, de la mauvaise imitation.

Et si l’on ne veut pas passer pour un crétin prétentieux, il vaut mieux se taire, et si on doit se taire, et ne plus communiquer, à quoi sert de penser ? Nous sommes tous bien d’accord…

Nous sommes passés, de l’animal à l’homme, de l’homme à l’humain et de l’humain à l’humanité.

L’humanité nous a dépassés.

Que serons-nous demain, les structures auront changé, et nous serons les individus sujets adaptés à ces nouvelles conditions.