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· L'humain nu (0)
jtgyutiuyoiu
Par Anonyme, le 22.11.2019
ma questions cerais dans un monde ideal qu'elle cerais l'obligation et les règles a respecté par chaqu'un sur
Par Anonyme, le 01.11.2019
aider moi
Par Anonyme, le 06.01.2019
je pense que j'arrive à des conclusions proches des votre:
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et j'
Par Anonyme, le 04.11.2018
" tout est permis mais rien n'est possible " de michel clouscard en 1980...
Par Anonyme, le 02.10.2015
· Existe-t-il un monde idéal.
· Est-ce l’homme qui fait la société ?
· L’objectivité dévitalise la vie et déshumanise l’homme.
· Nous avons une responsabilité élémentaire.
· L’humain est éphémère
· Je pense donc je suis est un concept obsolète
· La réflexion rationnelle
· il n’y a pas de nature humaine,
· MUTATION SOCIETALE
· la vie, n’impose rien à la conscience individuelle.
· La démocratie est un piège
· l'équilibre du monde du vivant
· L’espèce humaine continue d’évoluer.
· Nous nous endormons dans un passif contemplatif
· Le matin s’éveille et ouvre les volets de la conscience
Date de création : 13.04.2012
Dernière mise à jour :
13.10.2015
96 articles
Ne pas voir, ne pas savoir, à toutes fins de non-recevoir, laisse place à l’auto instituant, la faculté de s’approprier l’autre.
La cécité Œdipienne liée à une culture millénaire fossilisée d’anthropocentrisme, mène à l’obscurantisme, une répulsion phobique de la remise en cause.
La subversion de la raison par une conscience non révisable prolonge et préserve une continuité de transmission de la chair, mais échappe à la subjectivation de l’autre par l’échange.
C’est la route à l’auto fondation de la tyrannie par le magma du globale. C’est la dévoration de l’individu, l’anthropophagie intellectuelle généralisée.
Avec la peur du savoir, et des avancées technoscientifiques, privés d’outils pour penser, seuls les effets d’érosion scarificatrice du système sociétale marquent leurs empreintes sur l’évolution de l’espèce. Les comportements de l’être, et sa condition s’en trouvent irréversiblement perturber le laissant, sourd, aveugle et muet.
Il faudrait aujourd’hui, qu’une éthique prenne en considération non seulement la condition globale du vivant mais aussi l’avenir lointain de l’espèce humaine.
Nous sommes les architectes de la société à venir, et en cela ses débiteurs en comprendre ses fondations nous permettrait de l’édifier. Connaitre le passer, pour envisager et estimer le futur.
Nous avons à charge, de préserver l’altérité de l’autre et ne pas seulement en faire et en croire un candidat à l’existence englobée au sein d’un monde physique, fût-il idyllique.
Les interdits sont disqualifiés par la légitimité des libertés, la dissemblance estompée au nom de l’égalité. Le neutre généralisé aboutit à la génération du « clone sociale ».
Anéantir l’autre dans la chimère de l’entendement, c’est placé le corps dans sa proposition prothétique manipulable, et l’esprit dans une concordance immuable de l’ensemble réduite à ses seules fins, fonctionnelles et indispensables.
La conscience collective avec la classification rationnelle sans réponse personnelle, fermera la boîte du mystique et du mystère de l’autre à jamais.
Les nouveaux comportements : (liberté indépendance et identicité), sont les maladies du corps social et dans un silence consenti, participe par cette uniformatisation, à la perte de l’estime de l’autre, de soi, mais plus encore, à la perte du « moi »
Pour contre phraser Shakespeare, on pourrait dire : « j’existe parce que je pense » la chape de raison sociale, celer sur le « je » : mets fin à l’existence. Il a perdu son intérêt social, et toute sa recevabilité intellectuelle.
Nous sommes la première génération à ne plus penser le mystère de la différence des sexes et d’autrui dans le gigantesque potentiel d’amour et de conflits, mais à le transposer en désir élargi accessible et consumériste, en rapports, matériellement et socialement consentis dans une égalité sans interprétation, sans interdépendance, et sans lien. L’engendrement dans la sexualité, la différence, et l’altérité subjective, étaient pourtant les gardiens du sacré de l’humain.